08 juillet 2007

Turris impressionne Gretzky

Le 3ième choix au total du dernier encan de la Ligue Nationale de Hockey a participé au camp des recrues des Coyotes de Phoenix et l'entraîneur-chef Wayne Gretzky fut impressionné de la performance de son jeune protégé.

"Je suis un grand fan de lui," a-t-il déclaré. "Je crois qu'il joue au hockey de la façon dont il devrait être joué. Il joue avec une impresionnante vision du jeu et il n'a que 17 ans. Il a de belles années devant lui et il a une excellente attitude, comme tous les jeunes présents à ce camp."

"Quand tu es le troisième choix au total de la séance de sélection, c'est certain qu'il y a de la pression, mais il (Kyle) vit très bien avec," dit-il.

Le jeune homme de 17 ans veut prouver au personnel des Coyotes qu'ils ont fait le bon choix en le sélectionnant le 22 juin dernier.

"Je veux créer une bonne première impression," a-t-il dit après une séance de patinage de 90 minutes au camp des recrues des Coyotes. "Je travaille le plus fort possible."

Le centre de 6,01 et de 170lbs a connu une saison phénoménale avec l'Express de Burnaby dans la "British Columbia Hockey League" du circuit "Junior A". En effet il a récolté 66 buts 55 passes pour 121 points en seulement 53 parties. La Centrale de Recrutement écrit: "Un attaquant habile et un excellent fabricant de jeu... Possède un lancer précis, décoché rapidement... Un coup de patin fluide qui aime foncer au filet et capable de contrôler le rythme du jeu... N'est pas appeuré de prendre une mise en échec et joue bien sous la pression... Très bonne éthique de travail.

Video de recrutement: 300K

Peter Sullivan, un recruteur à temps plein avec la centrale de recrutement parle de Turris comme d'un jeune prodige.

"Il possède quelque chose que peu d'autre joueurs possèdent. Il a le don pour être à la bonne place au bon moment. Tout le monde parle de ses habiletés offensives, mais il est aussi bon dans sa propre zone, on voit ça très rarement. Il est simplement un joueur spécial, avec un don."
Le seul aspect à améliorer chez le jeune natif de New Westminster en Colombie-Britannique est sa force physique dans le haut du corps, ce qu'il améliorera sans aucun doute avec l'Université du Wisconsin dans le NCAA aux États-Unis.


On compare déjà Kyle Turris à plusieurs joueurs de la LNH.
L'entraîneur de Turris, Rick Lanz, un défenseur qui a joué longtemps dans la Ligue Nationale, dirige depuis 12 ans dans la BCHL et il affirme que le meilleur pointeur de son équipe est dans une classe différente des autres joueurs.

"J'avais Scott Gomez lorsque je dirigeais à Surrey et Kyle est aussi bon sinon meilleur que Gomez potentiellement en terme d'habiletés. Je le classifierais dans une classe avec les Gomez, Kariya et cie. Il voit le jeu différemment des autres, il ne panique jamais ce qui est un élément spécial chez lui." Le directeur de la Centrale de Recrutement, EJ Maguire affirme également que Turris deviendra tout aussi bon qu'un joueur de la même trempe que Paul Karyia.

L'entraîneur de Kyle le compare également à Marian Gaborik en raison de son habileté à battre les défenseurs à 1 contre 1.

Le magazine Hockey News eux le comparent comparent à Joe Sakic dans l'édition du "Draft Preview", en raison de son lancer précis, son coup de patin, de son excpetionnelle vision du jeu et de son habileté à contrôler le rythme d'un match.

Le jeune Turris a toujours été un sportif, joueur de crosse à 4 ans et de hockey à 5 ans.

"Il est mon seul enfant et je tenais à avoir quelqu'un pour jouer à la crosse" balgue son père, un consultant dans l'industrie de la pêche et un joueur distingué de crosse; à l'opposée de Kyle il a arrêté de jouer au hockey à l'âge de 15 ans. Il a joué pendant 15 années dans l'association de crosse de l'Ouest et il a été intronisé au temple de la renommée canadien de la crosse. Sa mère, Vickky, était une athlète également. Plus jeune, elle excellait dans la course courte distance à l'école secondaire.

Kyle tient à mentionner que les deux ont eu une influence énorme dans sa vie.
Un résident de longue date de Westminster, c'est sans aucune surprise qu'il est un grand partisan des Canucks de Vancouver.
"J'ai des banderoles des Canucks partout dans ma chambre" raconte-t-il. "Toutefois, mon joueur préféré est Steve Yzerman. J'étais triste quand il s'est retiré."

Bruce Turris, le père de Kyle, était un excellent centre pour gagner les mises en jeu lorsqu'il était plus jeune, le choix des Coyotes de Phoenix reconnait qu'il doit améliorer cette facette de son jeu. "J'ai définitivement besoin d'ajouter de la force musculaire ainsi qu'améliorer mes mises en jeu."

En ce moment, il travaille avec un entraîneur certifié, Shaun Karp. Ce dernier a travaillé avec plusieurs joueurs de la LNH au cours des années passées, Brendan Morrison en est un.

C'est vers la fin de son stage bantam que Turris a commencé à penser au hockey plus sérieusement. "Les choses commençaient à se rassembler," a-t-il dit. "Les collèges ont commencé à me contacter; c'était vraiment cool."

Le destin ne lui a pas rendu service l'année suivant alors qu'il décida de jouer "Junior B" et alors que plusieurs recruteurs étaient dans l'assistance il a fracturé son poignet sur sa première présence sur la glace.
On l'a avisé que ce serait l'occasion rêvé pour lui de faire le tour des collèges américains du circuit NCAA.

"Kyle m'a dit qu'il adorerait voir une partie de NCAA, alors nous avons décidé de faire le voyage," son père raconte. "Il a réalisé que c'était du hockey de qualité et il a été impressionné par les institutions. Il a également rencontré les entraîneurs."

Finalement sa décision s'est retrouvé de jouer pour le Wisconsin, à la grande tristesse des Giants de Vancouver qui ont essayé à maintes reprises d'attirer Turris dans leur organisation mais celui-ci a préféré le collège américain.

Le centre de 17 ans admet que ce fut une décision difficile puisqu'il aurait adoré l'expérience de jouer à la coupe Memorial à domicile, mais il a préféré avoir un plus haut niveau d'éducation.

"Ça me donne des années de plus pour me développer si j'en ai besoin et si ça ne fonctionne pas au hockey j'aurai une éducation si j'en ai besoin également." Il prendra des cours d'affaires à sa première année et décidera ensuite dans quoi il veut poursuivre.

Et pour ce qui est de la LNH, Turris a indiqué aux Coyotes qu'il jouerait pour le Wisconsin l'an prochain, une décision que l'équipe du désert a endossé. Après ça, Kyle espère qu'il n'aura pas à attendre trop longtemps pour entrer dans le circuit Bettman.

"Si Phoenix me veulent l'an prochain, je jouerai ici l'an prochain, s'ils pensent que j'ai besoin de quelques années, c'est à eux à décider, mais en ce qui me conerne, je veux tellement jouer dans la LNH que je ferais n'importe quoi pour y arriver."

Avec tout ce jeune talent émergeant dans la Ligue Nationale de nos jours, Kyle Turris réussira sûrement à faire sa place comme un joueur spécial.
Documents utilisés:
Magazines:
-The Hockey News: 07 Draft Preview
Sites Internet:

1 commentaire:

Anonyme a dit…

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